Comment cinq amis montent-ils ensemble un projet qui décrit lui-même l’échec du groupe ?
Dans la pièce George Kaplan, les cinq acteurs incarnent chacun trois personnages à l’identité différente à chaque acte. Ils sont réunis par une allégorie unique : George Kaplan.
Dans chaque acte, une bataille d’égo se déploie dans le cadre d’une réunion de travail, où la pluralité de caractères rend impossible tout compromis. Les personnages se laissent dépasser par la tâche qu’ils se sont donnés. Chacun veut exprimer son avis mais n’écoute pas celui des autres. Personne ne s’écoute, chacun s’enferme dans une bataille d’égo avec ses collègues, faisant place à un huis-clos véhément. Les cinq membres de ce collectif débattent de torture, de manipulation et d’informations secrètes.
Dans chaque acte, une bataille d’égo se déploie dans le cadre d’une réunion de travail, où la pluralité de caractères rend impossible tout compromis. Les personnages se laissent dépasser par la tâche qu’ils se sont donnés. Chacun veut exprimer son avis mais n’écoute pas celui des autres. Personne ne s’écoute, chacun s’enferme dans une bataille d’égo avec ses collègues, faisant place à un huis-clos véhément. Les cinq membres de ce collectif débattent de torture, de manipulation et d’informations secrètes.
Dans cette émission, on écoute Anne-Louise, Anaïs et Mélissande nous parler de leur pièce et en quoi on y voit « l’Homme dépassé par l’Homme ». Zoé nous partagera également son impression et son opinion dans sa chronique.