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La musique contemporaine et la danse 3/3 : Quand le musicien devient danseur

Bonjour à tous,

Nous voici arrivés au terme de notre cycle d’émissions consacré au lien entre la musique contemporaine et la danse.

Après avoir parlé des codes de la danse que les compositeurs s’amusent à détourner, puis de la relation complexe qu’entretiennent les compositeurs et les chorégraphes, nous explorerons aujourd’hui le place du musicien dans ces dynamiques. Des musiciens à qui on demande de jouer, mais aussi d’incarner des personnages, et parfois même de danser… Leur instrument devient un corps, et leur corps, un instrument.

Préparez-vous pour un étonnant spectacle : celui de la musique en mouvement.

 

Pour aller plus loin / Références citées dans l’émission :

  • Harlekin, de Karlheinz Stockhausen
  • La Comeddia dell’arte
  • L’Académie Royale de Danse
  • Les danseuses et chorégraphes Isadora Duncan, Michèle Anne de Mey, Anne Teresa de Keersmaeker
  • Pièce de Gestes, de Thierry de Mey
  • Le concert « Timelessness » des Percussions de Strasbourg
  • Les Etoiles de l’Opéra de Paris
  • L’Ensemble Intercontemporain, les Percussions de Strasbourg, Atmusica, l’ensemble Offrandes, spécialisés dans l’interprétation de la musique contemporaine.
  • Le livre Musique et Danse de Claire Paolacci (éditions Fayard/Mirare)
  • Le documentaire « Du Geste à la Musique » de l’Ensemble Intercontemporain

 

Une réponse à “La musique contemporaine et la danse 3/3 : Quand le musicien devient danseur”

  1. Le dernier morceau est vraiment étonnant ! Et ce que tu dis Camille à la fin de cet épisode est très vrai : la musique contemporaine doit être autant vue qu’écoutée. Pour en avoir fait l’expérience – et étant assez néophyte en musique contemporaine – j’ai toujours été surpris, voire émerveillé – par les corps qui bougent en même temps qu’ils provoquent des sons. IL y a une espèce de chorégraphie dans la musique contemporaine qui étonne, surprend et amuse souvent. Du coup, on passe toujours un bon moment, même si la musique en elle-même n’est pas toujours facile…

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