Dans cette chronique nous allons à la rencontre d’Alice Schneider, jeune artiste passionnée par le dessin et la peinture qui expose actuellement au PAD, 3 Bd Davier, à Angers.
C’est au moment de l’installation de son exposition « All kids in my head » qu’elle nous accueille ; moment très particulier où les choix se font, où tout est réuni, parfois pour la première fois.
C’est dans une atmosphère toute particulière que je découvre le lieu : images de tout ordre emplissant le sol de l’espace, la moitié des murs déjà tapissés d’illustration, d’architectures impossibles, de visages de stars, de footballeurs, de militaires, mais encore toute une imagerie virtuelle des années 90, côtoyant des paysages oniriques modulables… Au milieu de l’espace : une tente. Vit-elle en ce lieu, se levant chaque matin pour tracer inlassablement toutes ces formes, dessinant comme tout un chacun a le besoin de respirer ? S’il s’agît d’une installation il semble à l’évidence que la réalité n’en est certainement pas trop éloignée.
Musique générique : Miles Davis – « So what »
Musique milieu et fin de la chronique : Tere mere beech mein kaisa hai ye – Ek douje ke liye
Lohengrin